"On a fait une réunion samedi soir, que le staff et les joueuses attendaient. C'était une réunion positive et constructive, en tout cas il y a eu des échanges. On s'est dit ce qu'on avait à dire, maintenant on est focus sur le match de demain (mardi) pour bien finir ce stage", a répondu la Bordelaise face à la presse.
A propos des tensions opposant Corinne Diacre à certaines joueuses, "je ne parlerais pas d'une fracture, ni d'apaisement", a dit la joueuse de 30 ans, capitaine vendredi contre l'Autriche (3-0) après le remplacement d'Amandine Henry, en conflit avec la sélectionneuse.
A cette réunion, "on s'est dit les choses" mais "cela reste en interne". Et de lancer aux journalistes qui la relançaient: "Ça ne vous plait pas mes réponses ?".
L'ancienne joueuse du Paris FC, à Bordeaux depuis l'été 2019, assure ne pas avoir à choisir un camp plus qu'un autre.
"Je n'ai pas de position à avoir, je suis une simple joueuse de l'équipe de France. J'ai été appelée par le staff, mon travail c'est d'apporter ce que je sais faire sur le terrain. Je reste à ma place", a-t-elle développé.
Pour la joueuse de 30 ans, "l'ambiance est bonne" en équipe de France et "ça se voit à travers les résultats".
Déjà qualifiée pour l'Euro-2022 après leur victoire 3-0 vendredi contre l'Autriche, l'équipe de France boucle son parcours qualificatif mardi à Vannes face au Kazakhstan, 77e nation mondiale et lanterne rouge du groupe avec zéro point au compteur.