Parmi ces cinq hommes, le directeur des services généraux du club corse, Anthony Agostini, accusé par le président de l'Olympique lyonnais Jean-Michel Aulas d'avoir frappé le gardien Anthony Lopes, a été placé sous contrôle judiciaire et interdit de pelouse sur les stades qui accueillent des matches du SCB.
Un supporteur du club et un stadier ont aussi été placés sous contrôle judiciaire et interdits de stade, et deux autres supporteurs ont été placés en détention provisoire dans l'attente de l'audience du 15 mai en raison d'"un risque de récidive".