"Chacun aura une opinion. Ce n'est pas le moment pour pointer du doigt. Il faut être unis dans les mauvais moments. Ce lundi, nous nous réunirons pour parler de trois choses. Nous nous dirons ce que nous avons à nous dire et qui ne sortira pas du vestiaire. L'équipe a besoin d'une réaction. Il faut garder confiance et lutter", a déclaré Sergio Ramos.
"Il est clair que tout est allé de travers. Nous aurions bien aimé commencer l'année sur une bictoire. L'équipe, parfois, va bien et génère des occasions, mais il manque de l'efficacité en haut, et cela se voit dans les résultats. Il faut changer de dynamique", a continué le capitaine.
Le joueur est revenu sur le penalty dès la 2ème minute : "C'est une erreur déterminante dès la 2e minute. Mais il ne faut pas pointer du doigt. L'équipe ne manque jamais d'envie. Nous rentrons à la maison fatigués, mes jambes ont mal à force de courir."
Quand un journaliste lui a demandé si la série de victoire était terminée, Ramos a répondu : "Nous avons gagné un titre il y a trois semaines. Les doutes se forment, mais moi je ne crois pas. Si je savais que je n'allais pas gagner, je resterais chez moi."
Enfin, Sergio Ramos s'est indigné au sujet de la VAR : "Pour moi les penaltys sont évidents. Le mien peut-être un peu moins, mais je ne simule pas. Celui de Vinicius est un scandale. J'ai toujours soutenu la VAR, mais sur ce match tu mets tu deviens fou parce que, s'il y a la VAR, c'est pour pouvoir la consulter. Et cela fait aussi bien longtemps que je ne voyais pas un deuxième carton jaune comme celui de Lucas Vazquez. L'arbitrage vous fait réfléchir."