L'une des premières phrases lancées concernait la difficulté de concocter un onze pour le choc : "Comme l'a dit Isco, c'est à moi que reviens la corvée du onze. Il y a beaucoup de bons joueurs qui vont être écartés et sur le banc, mais nous pensons comme une équipe, nous formons un groupe uni".
"Celui qui restera sur le banc ne peut pas se dire que c'est parce qu'il n'est pas un grand joueur. Je dois prendre des décisions et tous mes joueurs sont bons, mais celui qui est sur le banc peut également apporter quelque chose à l'équipe et avoir un rôle important. Le pire moment pour un entraîneur est celui-ci, quand tu fais des choix pour une finale, mais les joueurs le savent. C'est la partie la plus compliquée du travail d'entraîneur et je dois l'assumer. C'est ma responsabilité", a-t-il ajouté sur le thème du onze.
Le véritable casse-tête de Zidane concernera son attaque, là où il devra trancher entre la fantaisie d'Isco, la puissance de Bale ou l'altruisme de Benzema.