Philipp Lahm défend Joachim Löw et l'Allemagne

L'Allemagne n'a plus le droit à l'erreur. La 'Mannschaft' s'est inclinée dès son entrée en lice dans la Coupe du monde 2018 face au Mexique. Les champions du monde en titre doivent absolument l'emporter contre la Suède et la Corée du Sud pour ne pas être éliminé prématurément. Sous le feu des critiques, la sélection allemande a tout de même reçu le soutien de Philipp Lahm, ancien capitaine de la 'Mannschaft' et désormais à la retraite.

Philipp Lahm a confiance en la composition de la sélection allemande : "Je pense que vous pouvez toujours avoir une discussion sur l'équipe en Allemagne parce que nous avons beaucoup de bons joueurs. Nous avons gagné la Coupe des Confédérations l'année dernière où encore plus de jeunes joueurs faisaient partie de l'équipe. Ces joueurs se sont illustrés à la Coupe des Confédérations".

Faire confiance à Löw

L'ancien capitaine de la Mannschaft a défendu Joachim Löw, arrivé en 2006 à la tête de l'Allemagne : "Vous devez faire confiance à l'entraîneur national et à son équipe, il a beaucoup d'expérience, il a été dans l'équipe nationale depuis 2004 et après la Coupe du monde 2006, il est devenu entraîneur national, il a l'expérience nécessaire et il sait comment rassembler son équipe".

L'ancien international allemand, désormais retraité, estime que Joachim Löw est toujours l'homme de la situation et l'a prouvé à chaque grande compétition internationale : "Depuis qu'il est l'entraîneur national, nous avons toujours atteint la demi-finale. Il sait très bien comment rassembler une équipe qui terminera les quatre ou cinq prochaines semaines avec succès".

L'Allemagne a perdu plusieurs joueurs phares depuis la Coupe du monde 2014 et a tenté de les remplacer par des jeunes joueurs, sans succès pour le moment, même s'ils ont été performant lors de la Coupe des Confédérations en Russie l'an dernier. Depuis 2006, la Mannschaft est toujours arrivée au moins en demi-finale de chaque grand tournoi avec en point d'orgue la victoire en 2014 et la finale de l'Euro perdue en 2008.