Le Madrid de cristal s'est renforcé. Les mois les plus difficiles sont passés, ceux lors desquels la formation 'merengue' semblait prenable par n'importe quelle équipe. Avec Solari, le Real a franchi un cap, connaissant une dernière semaine de compétition brillante.
Car l'exigence était maximale dans les trois compétitions jouées par les 'Merengues' mais ils ont su s'en sortir avec brio.
Tout a commencé au Camp Nou, le mardi de la semaine dernière. Un but de Lucas Vázquez, ensuite éclipsé par celui de Malcom, a bien fait comprendre que cette version 'merengue' était faite pour rivaliser avec le Barça. Le Real a donc rejoint Bernabéu avec un petit butin qui lui sera précieux pour le deuxième 'round' de Coupe du Roi.
C'est Barcelone qui devra le plus s'exposer à Bernabéu, stade dans laquelle les soldats de Solari souhaiteront parachever leur travail.
Vint ensuite le derby. Après un match exigent, la formation 'merengue' a fait part d'un jeu dévastateur. Cette saison, personne n'avait été capable de faire plier les hommes de Simeone dans leur propre fief. Le 1-3 a été incontestable.
Face à l'Ajax, malgré la souffrance connue durant le match, surtout en première période, le Real Madrid a tangué mais n'a pas coulé, à l'expérience. Avec un Vinicius en pleine confiance et un Asensio pointant à nouveau le bout de son nez, le Real est aujourd'hui en ballotage favorable pour rejoindre les quarts.
Les chiffres de Solari après cette période chargée prennent encore plus de relief : 20 victoires, deux nuls et quatre défaites (deux d'entre elles ayant 'compté pour du beurre' face à Leganés et le CSKA Moscou).
En Ligue des champions et Coupe du Roi, tout dépend d'eux mêmes. En Liga, il conviendra de remonter un retard de six points sur Barcelone, en tête du championnat.