Ces dernières semaines, le nom de Raul Jimenez a été associé à des clubs prestigieux tels que Manchester United, le Real Madrid ou encore Arsenal. Des intérêts prononcés pour un attaquant "naturel" qui ne surprennent pas la légende des Wolves, John Richards.
L'international mexicain voit sa côte grimper cette saison, lui qui a inscrit pas moins de 22 buts en 2019-20.
Les Wolves l'ont lié à un contrat à long terme, avec un contrat record de l'ordre de 30 millions de livres sterling conclu en 2019.
Mais cela risque de ne pas être suffisant pour préserver leur meilleur atout. Jimenez a en effet admis qu'il n'excluait pas un départ cet été, et les géants de la Liga, à savoir le Real Madrid et le FC Barcelone sont invités à se positionner. John Richards estime que les clubs à travers l'Europe devraient se joindre à la chasse.
L'ancien leader emblématique des Wolves a déclaré à l'Express & Star' : "Je pense qu'il peut offrir davantage pour être parfaitement honnête, et j'espère que ce sera avec les Wolves. Il ne fait aucun doute qu'il y aura des clubs qui le surveilleront - des clubs de premier rang, non seulement en Premier League mais à travers l'Europe (...) car c'est le genre de joueur qui améliorerait n'importe quelle équipe dans laquelle il ira", a-t-il analysé.
Richards a ensuite ajouté : "Il a tous les attributs d'un attaquant de classe mondiale. Je suis sûr qu'il y a d'autres clubs qui gardent un œil sur lui car obtenir ce ratio de buts en Premier League est juste phénoménal, pour être honnête. Pour arriver au meilleur niveau, vous devez le faire pendant quatre ou cinq saisons. Il n'est pas encore tout à fait là, mais le potentiel est là", a ensuite estimé l'ancien joueur. Avant de s'expliquer en détaillant les qualités de l'avant-centre.
"Il bouge à merveille, et je sais que nous avons perdu le match mais ce but qu'il a marqué en demi-finale contre Watford, quand il l'a pris sur la poitrine, tout était là. La plupart des gens auraient opté pour une tête, mais son équilibre était brillant. Il a marqué un but que la plupart des attaquants n'auraient même pas pensé à marquer".