Un double d'Anastasios Bakasetas a confirmé le triomphe de l'équipe dirigé par l'entraineur espagnol Manolo Jiménez, ce qui signifie la fin de la grande époque de domination de l'Olympiakos, sept fois champion d'affilée.
Pour rappel, lors de la confrontation directe entre l'AEK Athènes (1e) et le PAOK (2e), le président du PAOK Salonique s'était introduit sur la pelouse armé d'un pistolet pour menacer l'arbitre. Suite à ces évènements, la Superliga a prononcé la sanction à l'encontre du club. Donner la victoire à l'AEK et retirer 3 points de plus au PAOK Salonique.
À l'heure actuelle, l'AEK dispose de 2 points d'avance sur le PAOK, et si on ajoute les trois points de la victoire à l'AEK et que l'on enlève trois points au PAOK, on se trouve avec un écart de 8 points en faveur de l'AEK ce qui leur permettrait d'être mathématiquement champion.
Le problème est que le club du PAOK a fait appel de la décision de la ligue, mais jamais une décision n'a été changé lorsqu'il s'agissait de retrait de points. Et au vu des circonstances, la sentance est plutôt clémente.