"L'Atlético considère que le montant déposé est insuffisant pour respecter sa clause libératoire, puisqu'il est évident que l'accord entre le joueur et le Football Club de Barcelone a été scellé avant que la dite clause ne passe de 200 à 120 millions d'euros", indique le club sur son site Internet officiel.
Problèmes en vue. Le club madrilène dénonçait déjà publiquement l'attitude des dirigeants du FC Barcelone la semaine dernière, quand Josep María Bartomeu dévoilait que les Catalans étaient entrés en contact avec Antoine Griezmann cet été.
"L'Atlético Madrid a appris que le Football Club de Barcelone et le joueur étaient parvenus à un accord au mois de mars dernier, concrètement durant les jours suivant le match éliminatoire retour de Ligue des champions face à la Juventus, mais aussi qu'ils avaient négocié les conditions de l'accord depuis février dernier", affirme le club.
En outre, les pensionnaires du Wanda Metropolitano précisent qu'hormis le fait que le FC Barcelone a commencé à négocier avec Antoine Griezmann en milieu de saison, le joueur a annoncé son départ le 14 mai dernier, quelques jours avant la réduction de sa clause libétatoire de 200 à 120 millions.
"Les déclarations que le joueur a faites le 14 mai annonçant son détachement du club sont également antérieures à la date à laquelle s'est produite la modification de la clause", est-il ajouté dans le communiqué.
Alors que le paiement de la clause du joueur semblait constituer la fin du feuilleton, l'Atlético Madrid ne l'entend pas de cette oreille et exige 80 millions d'euros de plus au FC Barcelone. Un épilogue de 'l'Opération Griezmann' controversé, qui pourrait finir devant les tribunaux.
Comunicado oficial sobre la rescisión unilateral del contrato que vincula a Antoine Griezmann con nuestro club https://t.co/FvqvTMH55j
— Atlético de Madrid (@Atleti) 12 de julio de 2019