Tout d'abord, Solari a évoqué la triste histoire qui touche le football, à savoir la disparition de l'avion de son compatriote Emiliano Sala, disparu depuis plus de 24 heures maintenant : "Nous lui envoyons toute notre force et beaucoup d'amour à ses proches. Nous vivons avec situation avec tristesse mais il faut avoir espoir."
Le Real Madrid s'apprête à jouer son quart de finale aller de la Coupe du Roi, et une nouvelle fois, l'entraîneur argentin de l'équipe 'merengue' a assuré que son effectif donnerait tout pour aller le plus loin possible dans cette compétition.
"Je vois que tous mes joueurs sont très concentrés en Coupe tout comme dans le reste des compétitions. Gérone fait une très bonne saison, et a un très bon jeu. Mais nous devons nous concentrer sur notre jeu et devons reproduire notre bon match contre Séville, mais en Coupe du Roi", a déclaré Solari.
Concernant la présence de ses joueurs, Solari s'est dit heureux d'avoir pu retrouver plusieurs joueurs à l'entraînement, dont Mariano Diaz, Toni Kroos et Marcos Llorente : "Ils sont tous importants."
Mais le sujet qui fait débat dernièrement à Madrid reste la mise sur le banc de Marcelo, second capitaine de l'équipe, lors des derniers matches : "Chaque match est nouveau et différent. Marcelo a déclaré son amour et son engagement pour le club, et sa joie et son comportement à l'entraînement sont irréprochables. Mais après, c'est à moi de faire la composition et de choisir pour chaque match."
Solari a aussi évoqué Benzema, qui a choisi de ne pas se faire opérer du doigt après sa blessure : "La décision de ne pas opérer Karim Benzema s'est prise d'un point de vue scientifique. Oui, l'esprit de compétition et de sacrifice de Benzema ont joué un rôle, mais ce sont les médecins qui prennent les décisions."
Enfin, face aux nombreuses questions concernant la VAR, Solari a déclaré que tout le monde souhaitait avoir plus d'explication sur les choix pris : "Nous voulons que la VAR soit bien appliqué. Moins on parle des arbitres, mieux c'est. (...) C'est un thême général, un débat public, et je répète que nous voulons tous comprendre l'outil."