Outre l'importance irréfutable de Ferran Torres dans la conquête du trophée, La Masia a joué un rôle capitale dans cette victoire.
Durant tout le tournoi, Miranda a été l'un des piliers défensifs de l'équipe de Santi Fenia sur le couloir gauche, tout comme Abel Ruiz, toutefois moins en verve qu'à d'autres occasions.
Tenas s'est montré autoritaire devant les cages, tandis qu'Orellana a été titulaire et a marqué face à l'Arménie, tout comme Marqués. Sanz a eu moins d'influence dans l'équipe, mais peut se targuer d'avoir été de cette équipe qui a raflé le trophée final.