"Infantino avant les élections il m'appelait, plus maintenant. Je veux clarifier que je ne suis pas son ouvrier, mais coach de Dorados et je défends le football. Si Infantino veut faire de ça un show de mi-temps c'est une honte, essayer de copier les Américains, le football c'est autre chose, ce n'est pas le SuperBowl", a-t-il indiqué.
L'Argentin a aussi réprouvé la politique de la FIFA et a insisté sur le fait que les choses qu'Infantino lui avait promises avant de prendre en charge la présidence de la FIFA n'ont pas été respectées.
"Si Infantino veut parler avec moi, il a mon numéro, il n'a pas besoin de tirs pour parler avec moi. Je peux affirmer que je suis chaud parce qu'avant les élections beaucoup de choses ont été promises et ça n'a pas été respecté et ça s'appelle trahir les gens".