"Mon père me battait pour que j’abandonne ce rêve, mais moi j’étais prêt à mourir pour le foot"

Véritable taulier à Toulouse depuis 2018, le nom de Max-Alain Gradel n'est pas inconnu ni du côté de la Premier League, ni de la Ligue 1. 

L'attaquant est en effet passé par des clubs tels que Bournemouth, Leeds United, Leicester ou encore Saint-Étienne. Il dispute actuellement sa troisième saison consécutive dans les rangs du TFC.

L'ailier ivoirien, Max-Alain Gradel, n'a pourtant pas vécu une enfance facile, comme il l'avait confié lors d'un entretien accordé à 'The Sun'.

"Quand j’étais gamin, mon père refusait que je joue au football. Il me disait sans cesse d’aller à l’école. A chaque fois que je me blessais en jouant dans les rues, il était mécontent", a lancé le Toulousain.

"Parfois, il (son père, ndlr) me battait pour que j’abandonne ce rêve. Mais je continuais à jouer. Je jouais bien que sachant que la chicotte m’attendait en rentrant à la maison. Mais je n’arrêtais pas de jouer. Je comprenais mon père mais j’étais prêt à mourir pour le foot", a ajouté l'ancien stéphanois.

A 10 ans, Max a finalement rejoint sa mère qui vivait en France avant de rejoindre l'Angleterre où il faisait ses débuts à Leicester City.