Parejo et Rodrigo, le duo vital de Valence

L'équipe entraînée par Marcelino García Toral s'est battue jusqu'en finale sur trois fronts : la Liga, les compétitions européennes avec d'abord la Ligue des Champions et ensuite l'Europa League, puis la Coupe du Roi. Le bilan de la saison est une quatrième place en Liga, les demi-finales en Europa League et le titre du tournoi de la Coupe du Roi.

Tout au long de la saison, Marcelino a réussi à faire jouer 27 joueurs, certains sous forme testimoniale, comme c'est le cas pour Uros Racic ou Álex Blanco. D'autres joueurs comme Ruben Vezo, Jeison Murillo et Michy Batshuayi ont seulement pu jouer jusqu'à leur départ du club lors du mercato hivernal, où sont arrivés Facundo Roncaglia et Rubén Sobrino.

De tous les habitués des plans de l'entraîneur, cinq sont arrivés à disputer au moins cinquante matches. C'est le cas de Parejo, Kevin Gameiro (55), Carlos Soler, Rodrigo Moreno (51) et Daniel Wass (50).

Cependant, en ce qui concerne les minutes passés sur le terrain, elles diffèrent selon les joueurs. En effet, seulement en Liga, José Luis Gayà a dépassé les 3100 minutes, alors que Neto Murara et Dani Parejo sont juste au-dessus des 3000, tandis que Gameiro reste à la moitié.

Rodrigo a marqué quinze buts, huit en Liga, cinq en Coupe du Roi et deux en Europa League, ce qui fait de lui le meilleur buteur devant Santi Mina (13), Gameiro (12) et Parejo (10, dont cinq penalties).

De tous les joueurs qui sont arrivés en ce mois de mai, aux ordres de Marcelino, Rubén Sobrino, Toni Lato et Kang In Lee, qui disputent maintenant le Mondial Sub 20 avec la Corée du Sud, sont ceux qui ont le moins participé.

En ce qui concerne les cages, Neto a été présent dans 47 matches, puisqu'il était titulaire en Liga et dans les compétitions européennes, alors que Jaume Doménech a été le gardien de la Coupe du Roi et il a joué les neuf matches de la compétition, plus cinq autres pour atteindre ses quatorze participations.

Des 61 matches, dont trente à domicile, d'autres buts en extérieur et la finale de la Coupe à Séville, l'équipe valencienne en a gagné 28, avec vingt matches nuls et trois défaites.

Pour ce qui est des buts, les Valenciens en ont marqué 86, soit une moyenne de 1,4 buts par rencontre, alors qu'ils en ont encaissé 59, soit un peu moins d'un par match.