Les tatouages de Sergio Ramos et leurs significations

L'Espagnol est sans aucun doute un des joueurs les plus tatoués. Lui-même les partagent sur ses réseaux sociaux, révélant leurs significations.

Combien de tatouages possède Sergio Ramos ?

Le plus récent a été réalisé après la finale de Ligue des champions face à Liverpool disputée à Kiev. Ramos a révélé pour 'COPE' qu'ils s'étaient tatoués sur la main droite et que son fils Alejandro était au coeur de leurs significations.

Los números que han marcado mi vida en el color más puro. ¿Qué significan?/ The numbers of my life in the purest colour. What do they mean? pic.twitter.com/8h4uBecVfr

— Sergio Ramos (@SergioRamos) 11 de diciembre de 2016

Sur cette même main, il a aussi inscrit le surnom de sa mère, Pilar Rubio : "Rubia" (blonde). Sur son bras gauche, il a aussi un espace réservé à ses deux autres fils.

Aux mollets, il a immortalisé le titre de Ligue des champions et la Coupe du monde remportée par l'Espagne en 2010 en Afrique du Sud. Un des tatouages les plus touchants est celui présent sur l'aine, où il est tatoué le premier mot de son fils Marco : "ay piota".

Ses parents aussi ont un espace qui leur est réservé sur l'avant-bras, et sur son poignet, on peut voir le nom de l'international espagnol en arabe. Le lombaire est lui chasse gardée de sa soeur Miriam, son frère René et son numéro habituel, le '4'.

Certaines références culturelles peuvent être retrouvées sur son corps, comme un poème de Nelson Mandela ou un symbole sur Michael Jackson. Aussi, il garde une petite place pour Antonio Puerta, ancien coéquipier décédé, et un hommage aux victimes du 11 Septembre 2001 et de l'attentat du 11 mars 2004 à Madrid.

Aussi, Sergio Ramos aime se tatouer des chiffres ayant marqué sa vie. Ainsi, on peut voir '92.48' sur son biceps, décrivant le moment où il a inscrit l'égalisation en finale de Ligue des champions face à l'Atlético Madrid.

Aussi, on retrouve le '35' et le '32', pour ses premiers matches avec Séville. Le '19', de la sélection espagnole, et le '+90' en hommage à ses habituels buts lors du temps additionnel.