Maintenant, Eto'o est un fervent supporter du PSG

BeSoccer il y a 5 années 11.5k
Eto'o se sent parisien. AFP

Dans un entretien pour 'Fichajes.com', Samuel Eto'o, actuel attaquant du Qatar SC, s'est exprimé sur l'élimination du PSG en Ligue des champions et sur le futur du club. Depuis un moment déjà, Eto'o possède une maison à Paris.

Un des attaquants les plus importants de ces 15 dernières années, Samuel Eto'o, a donné son opinion sur l'inattendue et douloureuse élimination du PSG face à Manchester United. Il a parlé du club à la première personne, comme s'il appartenait ou avait appartenu au club par le passé.

Pour une raison ou pour une autre, l'actuel joueur du Qatar SC est fou du PSG. Il a même une maison à Paris depuis quelques temps, où il tente d'aller régulièrement, et possède aussi une bonne relation avec Nasser Al-Khelaifi. Il s'est confié à 'Fichajes.com' sur l'échec du club français.

"Ça m'a profondément déçu car j'ai pensé que nous avions pris l'initiative avec la victoire lors du match aller. Ce n'est jamais facile de marquer deux buts à l'extérieur, mais United a montré au final que ce n'était pas du tout fini. Néanmoins, j'ai pensé que nous irions en quarts de finale", a assuré le Camerounais.

Il a notamment expliqué qu'il s'agissait de défaites qui "font beaucoup de mal", mais qui permettent "de grandir". Et il a ainsi fait référence à Mbappé : "Il avait la grande responsabilité d'être le leader de cette équipe. C'est une défaite qui lui permettra de s'améliorer, d'être plus fort mentalement. Je peux dire que la saison prochaine ce sera différent parce qu'il aura appris".

Eto'o, qui a indiqué que Guardiola était le coach idéal pour le PSG, a poussé le club à oublier : "Pour nous, les Parisiens, c'était difficile et ça le sera à nouveau, mais on doit encore nous concentrer sur le championnat et revenir plus fort l'année prochaine".

Enfin, l'attaquant n'a pas voulu donner son avis sur la possible absence d'un leader dans ce genre de moment. "J'ai ma propre idée sur le sujet et je l'ai partagée avec le président Nasser, c'est lui le président et ça rester encore nous", a-t-il conclu.

Mentionnés dans l'article