Oblak et Simao, des exemples pour Joao Félix

Le Benfica, ainsi que Porto mais probablement avec des dimensions inférieures, s'est toujours arrangé pour entretenir un grand réseau de 'scouting' qui a apporté beaucoup de bénéfices au club, tant sur le plan sportif qu'économique.

Ainsi, le premier rôle du mélodrame de cet été est joué par Joao Félix, la perle qui a conquis toute l'Europe lors des derniers mois, et qui compte sur une multitude de prétendants alors qu'il n'a que 19 ans.

L'Atlético Madrid est l'un d'entre eux, une équipe qui maintient une relation avec le club lisbonnin en ce qui concene les échanges de joueurs : Oblak et Simao.

Ce dernier, icône portugaise à une époque, a renforcé les fondations de cet Atlético Madrid depuis son arrivée en 2008. Il a gagné les supporters, en partie grâce à son grand coup de ballon, et sa grande rentabilité à rentabilisé les 20 millions d'euros dépensés pour son transfert, un chiffre qui n'était pas négligeable il y a dix ans.

Que dire de Jan Oblak. Le gardien slovène est déjà un mythe au sein de l'équipe de Simeone. Et seulement pour 16 millions d'euros.

La note négative dans l'entente Lisbonne-Madrid est Nico Gaitán, un joueur très courtisé par l'entraîneur argentin qui n'a pas montré le niveau attendu et qui est parti en Chine au bout d'un an et demi.

Cependant, le risque pour Joao Félix serait bien plus grand, puisque les 'Águilas' demandent 120 millions d'euros en échange de ses services. Une sonne exorbitante si nous tenons compte du chiffre total des trois transferts qui ont eu lieu entre les deux équipes par le passé.

Joao Félix coûte le double de Simao, Oblak et Gaitán réunis. Ce sont les aléas du mercato.