Le président de l'Atletico Madrid, Enrique Cerezo, a minimisé l'importance des messages de Luis Rubiales concernant les rouges et blancs. "Mais que dit cet homme ? C'est un whatsapp", a-t-il répondu.
Cerezo a également pris la parole à la mi-temps du match Atlético de Madrid-Brugge, un match clé de la Ligue des champions. Le président "colchonero" a été interrogé, une fois de plus, sur la controverse de Luis Rubiales.
"Mais que dit cet homme ? Tu m'as demandé avant d'aller déjeuner, quel est le problème ? C'est un whatsapp, le genre qu'ils vous envoient : ils vous envoient des films érotiques, ils vous envoient des commentaires, ils vous envoient des choses comme ça..... Un whatsapp !", a-t-il dit.
Dans des déclarations à 'Movistar', Cerezo a donné un coup de pouce à Rubiales et, au passage, a fait d'autres déclarations sur la VAR : " En Europe, nous nous défendons ; avec celle d'Espagne, nous buvons beaucoup. La VAR ici est plus environnementale, celle de l'Europe est plus sérieuse."
"J'ai vu que c'était une faute sur le joueur de Bruges dès le début", a-t-il déclaré au sujet du penalty refusé à Bruges en première période, dans un Metropolitano rempli de supporters rouges et blancs qui espéraient une victoire vitale en Ligue des champions.