La rumeur Aubameyang au Real Madrid ne cesse d'enfler. Et ce n'est pas avec les déclarations tenues ce lundi par le joueur gabonais lors d'une émission sur BeIn Sports que cela va changer. L'ancien stéphanois a une fois de plus confirmé son attirance envers le club espagnol. D'un autre côté, il a aussi mis en avant le respect qu'il porte envers son club actuel et le souci qu'il a de ne surtout pas brusquer les choses.
Interrogé sur les propos qu'il a émis après le match de Ligue des Champions entre les deux équipes, "Aubame" a indiqué que "c'est surtout par rapport à la famille. Les médias en font trop". S'il se montre dépassé par les proportions que toute cette affaire prend, il confirmé également que le Real "c'est un rêve de gosse". "Mais, je ne sais même pas si Madrid me veut vraiment. Si le Real vient un jour, alors c'est tant mieux. Sinon, la vie continue. Ce n'est pas un problème", a-t-il ajouté.
Les sorties médiatiques du buteur africain pourraient ne pas plaire du côté de la Ruhr. C'est pourquoi l'intéressé n'a pas manqué aussi d'exprimer le bonheur qu'il continue de ressentir en jouant pour le BVB. "Comme je l'ai toujours dit, je joue à Dortmund et je suis content d'être là-bas et ça se passe vraiment bien pour moi (…) Et ce n'est pas des appels du pied que je fais. Ce n'est pas du tout ça. Je suis juste honnête quand on me pose des questions".
Aubameyang a également fait une petite confession par rapport au secret de sa célébration de but préférée. "Mes saltos sur mes célébrations, c'est en hommage à Hugo Sanchez", a-t-il confié. Ce dernier est l'ancien grand buteur de l'équipe merengue. Dans les années 80 et 90, il avait pour habitude de fêter ses réalisations par des acrobaties.
Durant l'interview, le meilleur joueur africain de l'année 2015 a aussi évoqué brièvement l'intérêt du PSG à son égard. Là aussi, il a été sincère en reconnaissant l'existence des contacts avec les champions de France. "Oui, il y en a eu". Enfin, sur un ton plus léger, il s'est exprimé sur la rumeur Reus au PSG : "Il faudrait qu'ils (les dirigeants parisiens) prennent le lot".