Benfica, le club portugais le plus populaire, a aussitôt estimé dans un communiqué que cette décision était "illégale et inconstitutionnelle" et a pointé l'"absence de preuves".
Deux administrateurs du club ont été entendus par le ministère public, selon les médias locaux.
La justice portugaise soupçonne le Benfica d'avoir eu accès à plusieurs enquêtes en cours le concernant ainsi qu'à des dossiers impliquant des clubs rivaux, tous protégés par le secret de l'instruction.
Cette affaire a déjà conduit à la mise en examen d'au moins cinq personnes, dont Paulo Gonçalves, le directeur du département juridique du Benfica et un informaticien du ministère de la Justice.