Équipes qualifiées pour la Coupe du Monde 2026 par continent et ce qu’il faut en attendre

L’engouement généré aux quatre coins de la planète suffit à comprendre que cette manifestation est un événement sportif à part. Il n’empêche que cette Coupe du monde 2026 ne sera pas une édition comme les autres.
D’abord, parce qu’elle réunira pour la première fois 48 équipes, contre 32 auparavant. Ensuite, parce qu’elle sera co-organisée par trois pays : les États-Unis, le Canada et le Mexique, marquant une collaboration continentale inédite. Enfin, parce que ce format élargi redistribue complètement les cartes de la compétition, offrant à de nouvelles nations l’opportunité de briller sur la plus grande scène du football mondial.
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L’Europe reste le poids lourd incontesté de la planète football, avec la plus grande concentration d’équipes très compétitives et de joueurs de classe mondiale. Cela se reflète dans le nombre de places attribuées : 16 billets directs pour la zone UEFA. Rappelons qu’en 2022, l’Europe avait placé 12 nations en phase finale. Avec ce nouveau format, on peut donc légitimement s’attendre à ce que des équipes historiques comme l’Italie, l’Allemagne, la France, l’Angleterre ou l’Espagne soient de nouveau présentes.
Mais ce qui attire aussi l’attention, c’est la montée en puissance d’équipes dites « de second plan », comme la Suisse, la Pologne, la Serbie, voire même des pays baltes ou scandinaves qui pourraient créer la surprise. L’Écosse et la Finlande rêvent également d’une qualification historique.
L’UEFA a opté pour une phase de qualification traditionnelle, les premiers de chaque groupe étant directement qualifiés et les meilleurs deuxièmes se partageant les dernières places en jeu. Une chose est sûre : avec 16 représentants, l’Europe restera incontournable. La densité de talent et les niveaux de plus en plus homogènes feront que même les plus grandes équipes devront se méfier à chaque match.
C’est le privilège de l'hôte (en l’occurrence ici, des hôtes) : États-Unis, Canada et Mexique sont automatiquement qualifiés en tant que co-organisateurs. Une première dans l’histoire moderne de la compétition. Cela libère des places pour d’autres nations de la zone CONCACAF, qui bénéficiera de 6 places directes, plus potentiellement 2 supplémentaires via des barrages intercontinentaux.
Parmi les équipes attendues au tournant, le Costa Rica (qualifié en 2002, 2006, 2014 et 2022) fait figure de candidat sérieux. La Jamaïque, avec ses stars évoluant en Premier League, rêve de revivre l’épopée de 1998. D’autres, comme le Panama ou le Honduras, espèrent profiter d’un format élargi pour (re)trouver la lumière.
En ce qui concerne l’Amérique du Nord, les passionnés de jeu vivront un mois excitant, entre matchs à enjeu pour leur équipe de cœur et offres alléchantes sur les plateformes. De nombreuses promotions devraient circuler, du genre 80 tours pour 1$ Quebec. De quoi attirer aussi bien les novices que les joueurs réguliers dans une atmosphère de jeu et d’adrénaline bien dosée.
Impossible de ne pas mentionner de pays d’Amérique du Sud parmi les favoris de la compétition. Si le Brésil semble avoir légèrement perdu de sa superbe depuis quelques années, l’Argentine reste le champion du monde en titre. Habitués des phases finales de Coupe du monde, l’Uruguay, fort de jeunes talents comme Darwin Núñez ou Federico Valverde, pourrait également faire mal.
La zone dispose désormais de 6 places directes (sur 10 équipes), avec une 7e en barrages. En 2022, le continent avait envoyé 4 représentants (Brésil, Argentine, Équateur et Uruguay). Avec le nouveau format, des nations comme le Pérou, le Paraguay, voire la Colombie, ont une vraie chance de revenir sur le devant de la scène.
La densité de talent sud-américain est incroyable. Cette zone est probablement la plus imprévisible, et la plus passionnelle. Les éliminatoires de la CONMEBOL, souvent qualifiés de « plus durs au monde » par les suiveurs, devraient encore une fois être un théâtre de drames, d'exploits et de surprises.
L’Afrique est l’un des grands gagnants de cette nouvelle formule. Le continent hérite en effet cette fois de 9 places directes, soit un bond considérable comparé aux 5 habituelles. Une excellente nouvelle pour ce vaste territoire qui regorge de talents bruts. En 2022, le Maroc d’Achraf Hakimi - cité parmi les joueurs les plus rapides au monde - avait même atteint les demi-finales, une première pour une équipe africaine. Cet exploit a libéré les ambitions.
Le Sénégal de Sadio Mané, le Nigeria, la Côte d’Ivoire et l’Algérie seront naturellement parmi les favoris de leur zone. Mais il faudra aussi compter sur des nations comme le Mali, le Burkina Faso ou même la République Démocratique du Congo, qui possèdent des effectifs solides. L’enjeu pour ces nations sera de transformer leur potentiel brut en performance durable. Le nouveau format leur offre cette possibilité. Et qui sait ? Peut-être que l’Afrique nous offrira une finale historique en 2026.
Avec 8 places directes (et une neuvième via barrage), l’Asie est, avec l’Afrique, l’autre grand bénéficiaire de cette Coupe du monde version 2026. Pourquoi ne pas voir le Japon, premier qualifié pour la compétition, et la Corée du Sud donner du fil à retordre aux meilleurs ?
Attention cependant aux équipes montantes : l’Arabie Saoudite, qui a battu l’Argentine en 2022, le Qatar, champion d’Asie en 2019, ou encore, dans une moindre mesure, l’Ouzbékistan et le Vietnam, qui investissent massivement dans leurs centres de formation et infrastructures. Il faut le souligner : le développement du football asiatique est l’un des plus impressionnants de la dernière décennie. Soutenus par des gouvernements, des sponsors puissants et des projets éducatifs solides, de nombreux pays voient dans le sport un moyen d’influence mondiale.
Jusqu’ici, la zone Océanie devait toujours passer par un barrage intercontinental. Pour 2026, elle obtient une place directe et une possibilité de seconde via barrage, ce qui change tout. La Nouvelle-Zélande est la grande favorite pour profiter de cette opportunité. Seule nation de la zone avec une expérience régulière des grandes compétitions, elle devrait profiter de cette opportunité pour s’installer durablement dans le paysage mondial. Et oui : depuis 2006, l’Australie fait partie de la zone Asie, et non Océanie.
Derrière, des pays comme les Îles Salomon, la Papouasie-Nouvelle-Guinée ou Tahiti espèrent créer la surprise. Cela risque tout de même d’être très compliqué pour ces équipes. Néanmoins, cette première participation directe pourrait être le début d’une belle histoire pour l’Océanie, un continent souvent oublié, mais passionné de football.
Quel qu’en soit le résultat final, cette Coupe du monde 2026 sera la plus inclusive de l’histoire. Elle marquera un changement de paradigme, une ouverture au monde du football sous toutes ses latitudes. Des cadors historiques européens aux outsiders africains, en passant par les co-organisateurs nord-américains et les nouveaux venus océaniens, chacun aura sa carte à jouer. Il nous tarde d’y être : rendez-vous dans un peu plus d’un an pour assister à tout cela !