"Sur le plan mental", la Croatie est "une équipe capable d'aller chercher très très loin son énergie", estime-t-il. Il y a des similitudes avec la France sur sa capacité à utiliser un "bloc bas" pour "partir en attaques rapides".
"C'est une finale : en dehors de l'aspect tactique qui sera évidemment prépondérant, il y a aussi l'aspect émotionnel qui va jouer. La Croatie, c'est la première fois qu'ils jouent une finale dans leur histoire. Il va falloir prendre le dessus et que les joueurs soient capables de jouer à leur meilleur niveau", poursuit l'entraîneur-adjoint.
"De notre côté, on a bien digéré la demi-finale (contre la Belgique), il n'y a pas eu d'euphorie particulière, par contre il y a eu la satisfaction du devoir accompli. Evidemment, comme le disent les joueurs, c'est le match de leur vie", conclut-il.