Le Serbe représente un premier choix pour les Rossoneri, qui travaillent sur un prêt de deux ans, assorti d’une option d’achat.
Mais la direction milanaise devra composer avec deux handicaps sur ce dossier.
D’une part, le salaire élevé de Jovic, qui émarge à 5 millions d'euros chaque année en Espagne.
D’autre part, la position du Real Madrid, qui n’entend pas céder l’ancien de Benfica, malgré une première année très décevante.