"Inutile de faire d'un homme un chef alors qu'il va 20 fois aux toilettes avant le match" a déclaré Maradona cette semaine, ce qui a évidemment fait ressurgir le départ sur le retour du joueur du FC Barcelone au sein de l'Albiceleste.
En Argentine, une nouvelle défense se forme pour venir expliquer les performances de l'Argentine et du '10', et selon certains, la faute n'est pas celle du joueur du Barça mais plutôt celle de ceux qui l'entourent. Et déjà les analyses de l'Argentine championne du monde 1986 et celle finaliste de Messi en 2014 pullulent.
Comme le rappelle 'Marca', la championne du monde 1986 était composée de Pumpido dans les cages, Brown, Ruggeri, Cuciuffo en défense, Hector Enrique, Giusti, Batista, Olarticoechea et Burruchaga au milieu du terrain et enfin Maradona et Valdano en attaque, chargés de produire les buts.
Ce onze-là a permis à l'Albiceleste de soulever la Coupe du monde et Maradona a été vital pour le titre en marquant cinq buts et n'étant devancé d'un but que par un joueur : Gary Lineker.
Messi, lui, a réussi à se hisser jusqu'à la grande finale de la Coupe du monde de Brésil en 2014. L'Allemagne a mis fin aux espoirs d'une nouvelle étoile en prolongation, empêchant Messi de soulever un trophée qui lui était encore inédit.
Romero, Zabaleta, Garay, Demichelis et Roja formaient la défense de cette Argentine, alors que Biglia, Mascherano et Di Maria étaient chargés de détruire et fabriquer le jeu. En haut, Leo, Lavezzi et Higuain.
Alors, quelle était la meilleure argentine ?