L'ex-femme de Ronaldinho l'accuse d'agression

Coelho a expliqué dans une interview donnée pour la revue 'Universa', que lors d'une dispute le footballeur l'aurait "poussé avec force", ce qui l'aurait fait tomber dans le jardin d'un voisin et lui aurait causé quelques blessures. Elle n'a rien dénoncé sur le moment car elle pensait qu'ils "pourraient en parler et régler" leurs problèmes. 

Ronaldinho Gaúcho, selon ses dires, entretenait une relation amoureuse avec elle et avec Beatriz Sousa et vivaient toutes les deux avec le footballeur dans le quartier Barria à Tijuca, à Rio de Janeiro. 

Coelho a déclaré que la dispute précédent l'agression avait eu lieu lors d'une fête dans leur maison, dans laquelle une ex copine de Ronaldinho avait appelé sur le téléphone de celui-ci, qui était à ce moment là se trouvait entre les mains de Coelho, après que le joueur se soit montré agressif, il aurait attrapé le bras de sa femme, lui aurait dit de ramasser ses affaires pour quitter la maison et l'aurait poussé avec force. 

Coelho elle même a affirmé que footballeur était jaloux, qu'il avait un comportement agressif et que lors des soirées avec ses amis il interdisait à ses femmes de porter des pantalons courts. 

Selon 'Universa', Coelho poursuit le brésilien en justice principalement pour sa "violence" et cela sous secret de l'instruction. 

L'ex femme demande une indémnisation et le partage des biens perçuc par Ronaldinho entre 2012 et 2018, période où ils étaient ensemble. 

Coelho ajoute qu'en aucun cas elle dépendait économiquement du joueur, mais que lorsqu'ils se sont séparé l'année dernière elle ne trouvait pas d'emploi car sa vie "était très exposée sur les reseaux sociaux" et elle n'est pas parvenue à se détacher de cette histoire. 

En ce qui concerne la réaction de Ronaldinho Gaúcho face à ces déclarations, la revue explique qu'elle a pris contact avec l'avocat de footballeur, Sérgio Queiroz, et que celui-ci avait nié les accusations et affirmé qu'ils n'avaient reçu aucune notification de poursuite judiciaire engagée par Coelho.