"Nous sommes en négociation afin de trouver une solution à l'amiable, suite au non-respect des obligations contractuelles par la Fédération iranienne de football et suite à ma résiliation justifiée du contrat", a indiqué l'ancien attaquant sur le réseau social.
"Le dossier étant dans les mains de mes avocats, je ne ferai pas d'autre commentaire", a-t-il ajouté.
Avec ce message, l'ancien sélectionneur de la Belgique et de la Côte d'Ivoire confirme la rupture avec la FFIRI, qu'il avait déjà suggérée dans de précédents tweets.
Le 25 novembre, il avait ainsi dénoncé une situation "intolérable" pour son staff et lui, "créée à cause de graves violations contractuelles".
Le nom du Croate Branko Ivankovic avait même été avancé dans la presse allemande et belge pour remplacer Wilmots.
Quelques semaines plus tôt, selon l'agence 'Belga', la FFIRI aurait tardé à verser son salaire au sélectionneur, lequel aurait menacé de démissionner.
Arrivé en mai sur le banc de l'Iran, Marc Wilmots a signé un contrat courant jusqu'à la Coupe du Monde 2022.
L'Iran occupe à mi-parcours la 3e place de son groupe de qualification pour le Mondial, insuffisante pour valider son billet pour le Qatar.