Pratiquer un football de rêve avec des recrues glamour et prônant l'universalité avec une philosophie offensive résolue, mais une approche du mercato finalement assez décousue. Des Galactiques en attaque, des trous noirs en défense et au milieu. Oui, ces Galactiques 1.0 avaient leur charme. Un charme désuet et onirique. Mais le souvenir qui prédomine de cette équipe est un Real qui claudique. Fort devant, précaire derrière. L'équipe coupée en deux, avec d'un côté les impératifs économiques et de l'autre, le fameux, l'imprévisible, l'infâme aléa sportif.